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Une chronique adorable et drôle du site : « sous les pavés… la page » !

LA COUV PANCRACE 400(Couverture de la première version. En photo-titre, Mallock en train de concevoir et réaliser la couv de la seconde version de Pancrace (dont le texte a égalment été très fortement modifié)

CRITIQUE :

Pardonnez-moi Mon père car j’ai péché ! Je l’avoue un peu honteuse et rougissante…. ceci est mon premier Mallock !
Non pas que ce dernier ne me tentait pas, non, mais faute de temps, appâtée par tous ces romans que me proposent constamment ces vils tentateurs de confrères blogueurs, je l’avais mis de côté pour des jours meilleurs. La paresse que voulez-vous…

Qu’ais-je fait là Mon Père ? Vous me voyez piteusement agenouillée dans ce virtuel confessionnal telle une pécheresse repentante !

Car il y’a tant de talent chez cet homme là…

Voyez-vous Mon Père, rares sont les auteurs qui poussent leur travail de recherche aussi loin, avec force détails qui attisent la curiosité et enrichissent l’esprit. Telle que vous me voyez, sortie de cette lecture, me voilà plus intelligente, si tant est que ce soit possible. L’orgueil que voulez-vous….

Ce roman est un vivier d’informations, une fresque historique qui m’a fait remonter 7 siècles, sans pour autant alourdir le récit. Les références foisonnent et chaque page ou presque envoie références et allusions littéraires, théâtrales ou cinématographiques, du classique au contemporain, de Molière à l’Exorciste, de Shakespeare à Steinbeck en passant par Jacques Brel. Une lecture ludique, un jeu de piste intelligent.

Car il y’a tant de culture chez cet homme-là…

Et que dire des personnages de cette histoire, Mon Père, si ce n’est que chacun d’entre eux, jusqu’au plus insignifiant, renferme une profondeur telle que j’aimerais qu’ils soient fait de chair et de sang, plutôt que de papier et d’encre. Il se dégage de ce roman et de l’écriture de Mallock, une poésie presque épique et me voilà frémissante d’impatience à l’idée d’en dévorer et savourer un autre. La gourmandise, que voulez-vous…

Car il y’a du poète chez cet homme-là…

Mon Père, je suis prête pour mon acte de contrition. Chaque roman de Mallock je lirai. Les meilleurs passages je réciterai. La bonne parole sur mon blog je répandrai. Amé(n)dée.

 

SOUS LES PAVÉS…  LA PAGE !