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India's movie director Anurag Kashyap poses during a photo call to present his latest movie "No Smoking" at the Rome International Film Festival October 24, 2007. REUTERS/Dario Pignatelli (ITALY)

Anurag Kashyap, réalisateur indien, plébiscite « The Face of God »

Réalisateur primé en Inde, Anurag Kashyap a placé "The Faces of God", la version anglaise des Visages de Dieu dans ses livres de chevet sur le site Business Standards. Un honneur venant du réalisateur de Gangs of Wasseypur. Un grand merci à lui !         

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Flooded embankments in Paris

Crue de Paris : Mallock, un écrivain de thrillers, imagine le scénario du pire

Ce que Mallock nous avait raconté au sujet du Principe de Parcimonie. Avant d’être écrivain, je suis Parisien. Hasard ou coïncidence, lorsque j’ai commencé à penser au plan de mon cinquième roman il y a une dizaine d’années, je l’ai conçu dans un Paris inondé par la crue du siècle. Une crue plus terrible que celle de 1910. Ce matin, il pleut encore et je m’interroge : le pire peut-il se produire ? La Capitale est-elle préparée ? Aurais-je dû passer mon permis bateau ? C’est l’un des grands privilèges du romancier que de pouvoir, à sa guise, faire pleuvoir ou décider d’une canicule. Dans Le principe de Parcimonie, je voulais raconter l’histoire d’un tueur assiégeant Paris, ce centre du Pouvoir et nid douillet des élites et des “stars” que cet assassin en costume d’arlequin décide de prendre pour cible. Mais comment décrire, une fois de plus, ma ville ? Elle avait déjà été le décor de deux enquêtes de mon commissaire de police préféré. Lire la suite

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Le chapitre « OUBLIÉ » lors du premier tirage des « Visages de Dieu »

  • 26 • Le Chapitre "oublié" lors du premier tirage Sur le pont du Stella Marris, le 8 Janvier 1814.  Dieu avait fait l’homme avec des mains agiles, de petites jambes de montagne, un cerveau capable d’obstination, et l’envie irrépressible de rejoindre la ligne d’horizon. C’était là, sur le pont malmené d’une vieille caravelle, que le Vicomte François-Henri de Salis-Viracalas testait la robustesse de son corps. L’océan dressait chacune de ses vagues, comme autant d’obstacles à franchir pour parvenir aux Amériques. Un vent violent et caractériel engrossait le moindre petit nuage. Venus d’un ailleurs inquiétant des éclairs aiguisés éventraient des cargos cumulus pour les forcer à larguer leur cargaison d’eau glacée. De tout cela, péril et intempérie, François-Henri se réjouissait. À ses yeux, l’océan était la chambre noire d’une révélation symbolique. En le traversant, il allait enfin pouvoir observer et immortaliser ceux qu’il pensait être les premiers humains créés par Dieu, sanguinaires et maquillés : les indiens, ces sauvages colorés aux hurlements pleins de plumes que l’homme blanc appelait peau rouge. Dans son doux…

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Massacre D’UN Innocent… (Texte en exclusivité)

On parle certes et souvent de la peur devant la page blanche. L’ayant affrontée moi, Mallock, je gonfle mon petit torse et je dis : "même pas peur !" J’ai, tout au contraire, l’envie dévorante d’elle, de sa virginité fibreuse à déflorer avec des mots pénétrants, des phrases qui tachent, des virgules qui rigolent et des points qui l’embrassent. Je suis gourmand d’elle et jaloux de toutes ces pages vierges qui se donnent à d’autres, sans même avoir essayé de me rencontrer. Je reste certain que mes maux à moi les passionneraient bien plus. Mais si ! Non  ? Ah bon. Après ce préambule, je vais laisser mon livre vous raconter directement ce qui lui est arrivé et la peur qui lui soulève encore le cœur lorsqu’il m’en recause avec des sanglots dans les maux.     LE MASSACRE "DE" L’INNOCENT ou « Les mémoires d’un polar » MALLOCK. (Article/Nouvelle pour le Net) 20 MAI 2010 Après trois années de souffrances (les ratures, c’est pas indolore, croyez-en ma vieille expérience), mon père et géniteur (le contraire de…

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L’un des… « lieu du crime » dans « Les Larmes de Pancrace » !

En couverture l'illustration faite par MALLOCK pour la réédition du livre dans une version toute nouvelle. Le manège, les deux pièces d'eau, et derrière la fameuse "VILLA IGNOTA". Sur le côté, en rouge, la fenêtre de la cuisine.

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